NTIX

De FRHM
Version du 10 janvier 2020 à 19:26 par Sysop (discuter | contributions)

(diff) ← Version précédente | Voir la version courante (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher


Les humanités numériques, le polylogue interdisciplinaire, l'intermédiatique économique, les académies des sciences "intra muros", les États, etc. font grand cas de NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) tout en notant que ce sont dans leur domaine que l'on observe un effort particulier de recherche hors murs.

La raison en est que la recherche "intra muros" accepte la technologie et son déploiement industriel et stratégiques tel qu'ils sont (le plus grand investissement commun de l'homme), tandis que la recherche "extra-muros" qui en compte des pionniers, des développeurs et des normalisateurs, sait :

  • les limitations écosociopolitiques qui l'ont contrainte,
  • l'importance des rétronovations et innovations nécessaires à la résolution de sa dette technique,
  • les retards de facilitation intellectuelle et de la recherche qui en résultent.

Elle attend donc de nouvelles technologies de l'information étendues (NTIX) aux relations, aux traitements du contexte, à la multimatique et à leurs effets. Les théories de la communication traitent du schéma entropique dialectique, dit de Shannon (qu'il a toujours récusé), de la télématique de bout en bout des clients aux plateformes. L'infodynamique concerne des aspects pandisciplinaires d'importance, tels que :

  • la néguentropie diktyologique,
  • la polylectique du tous à tous,
  • la globalité de l'interligence (le ce par quoi tout est lié),
  • l'approfondissement mnématique [1] de la réalité
  • à commencer par un modèle multimatique réintégrant la présentation sémiotique des contenus échangés (ex. couche 6, OSI) et son déploiement (intersem) au service des citoyens, des entreprises et de la recherche hors murs.

Ceci fait des NTIX et de leur technosophie [2] des domaines particuliers de recherche particulièrement liés.

---
  1. proposition d'Ampère, le mnème est l'accumulation présente des traces du passé d'un élément qui suscite l'ordre de ses avenirs possibles
  2. La philosophie est le domaine des réponses aux questions que l'homme pose à l'homme. La technolosphie, celui des réponses aux questions que lui pose sa technologie en tant qu'objectivisation et qu'auxiliaire de sa pensée.